n’a pas, comme je l’eus cru naïvement, facilité les relations avec l’entourage…
Je n’attendais pas de compassion, chacun ayant son lot ; mais simplement en faisant confiance j’espérais un simple changement de regard, ou mieux pas de regard interrogateur…
Las ! Je me suis trompée. La maladie fait peur : alors devant la double peine,vous connaissez les sentiments traversés.
Une forme de résilience me permet aujourd’hui de vous offrir en partage ce :
